Comment se construit l’intelligence de l’enfant ?
Nous avons déjà parlé de Jean Piaget, biologiste, psychologue, grand observateur et ami des enfants.
Il a théorisé les stades de développement de l’intelligence chez l’individu. Et ils sonts encore très pertinents à mon avis. Moi aussi, j’aime observer et prendre des notes sur les enfants et leurs activités. Notre parcours de formation au métier d’éducateur Montessori propose un module complet sur cet acte essentiel au métier qu’est l’observation de l’enfant.
Je recommande fortement de proposer des expériences avec l’eau aux enfants, surtout très jeunes, et par conséquent hier, je fournissais à mes deux jeunes visiteurs âgés de 4 et 2 ans, un petit broc d’eau chacun ainsi qu’un gobelet en plastique (aux normes recyclables -)
C’était parti pour observer ses deux enfants, ayant 2 ans de différence en expérience et maturité de l’intelligence. Plus précisément, j’observais comment ils utilisaient les contenants et contenus. L’écart état colossal. L’ainé transportait le contenu liquide avec aisance et précaution, cherchant même à le conserver le plus longtemps possible. Cela tombait bien avec cette période du développement de la notion de la « conservation » que décrit M. Piaget.
Si vous voulez une petite vidéo d’introduction voyez celle-ci :
Les deux enfants étaient excités à l’idée de manipuler de l’eau. Ils l’avaient déjà fait. Et nous avions fait un parcours physique avec des balles, des cordes, des formes géométriques dans la pelouse pour eux. L’heure (et les températures estivales élevées) était de passer à la manipulation de l’eau.
La plus jeune enfant ne savait trouver les gestes pour porter, contenir, transvaser… L’eau disparaissait plus vite que nous le voulions dans la pelouse ! Et il fallait réapprovisionner.
Elle ne s’énervait pas lors de son activité qui consistait à transvaser tout le contenu, je dis bien TOUT le contenu, du broc dans l’autre contenant (gobelet plus petit). Et elle vidait TOUT le contenu, laissant déborder l’eau du gobelet dans l’herbe (heureuse de cette fraîcheur humide inespérée). Elle refaisait la même expérience plusieurs fois.
Nous n’avions pas donné d’instruction, et nous n’avons fait aucune présentation (montessorienne) du matériel, je le précise. En donnant ces 2 éléments à l’enfant, elle eut l’idée spontanée de créer cette expérience.
Le thème de la « conservation de la matière » n’est pas bien connu (ni du grand public ni des enseignants), et la maman de ces deux enfants, professeur des écoles elle-même, m’a beaucoup questionnée alors que je lui expliquais ce que faisaient les enfants et pourquoi ils agissaient ainsi, différemment.
Les enfants apprennent du monde extérieur, à nous de le savoir et de leur proposer des expériences matérielles positives et adaptées !
« Citez-moi les études ! »
« Citez-moi les études qui…. » Voici une phrase qui revient de façon sempiternelle dans la bouche des uns, dans les articles des autres. Mais de quoi s’agit-il ? Quelles sont « ces » études ?
Ce qu’il faut savoir c’est que la plupart des études sont financées, cad, qu’une entreprise ou plusieurs (financement privé) ou une université (financement public) participent au financement de l’étude. Et cela coûte cher : les salaires, les locaux, le matériel, la validation, la publication, etc.
Existe-t-il des études non financées et donc neutres ? Eh bien non, ou alors très très peu, car même les associations gèrent un budget et ont des salariés. Qui ferait une étude gratuitement ?
Ce matin, je faisais des recherches sur les composants chimiques du Séquoia (Sequoia sempervirens), un des plus grands et vieux arbres vivant sur la Terre.
Je tombais sur une publication indiquant qu’il y avait eu peu d’études sur ce spécimen ! Dommage, il pourrait nous donner les secrets de sa force en longévité et en résistance.
Comment faire ? Car, d’une part, il manque des informations cruciales pour notre civilisation : pour soigner, alimenter et loger chacun. Et d’autres part, des études sont financées sur des sujets peu conséquents sur notre vie actuelle, car financées par des entreprises qui veulent absolument convaincre que leur produit est indispensable et le meilleur !
Nous avons un potentiel humain à transmettre plus de savoirs, savoirs-faire et savoirs-être pour faire avancer notre civilisation. Agissons ! Pour les 3 générations à venir.
Ask Ginny
Il y a bientôt quinze ans, alors que je me délectais à visiter des structures montessoriennes avec des bébés (infants and toddlers) aux USA, -ce qui n’existait pas en France et qui n’existe quasiment toujours pas d’ailleurs- lors de conférences internationales, je tombais sur l’ouvrage de Virginia Varga « Ask Ginny ». Je fus immédiatement sous le charme de ce petit booklet, au format A5 paysage, mais dans lequel figuraient des trésors déposés par Virginia.
Je vous mets deux photos ci-dessous, car le moteur de recherche google s’appauvrit de plus en plus et je n’ai pas trouvé trace de cet ouvrage à ma grande surprise ?
Virginia Varga vient de quitter la Terre, mais elle a laissé un très bel héritage montessorien à l’échelle planétaire.
Bien qu’en N&B, les photos illustrant son ouvrage étaient édifiantes pour qui, des directeurs ou des éducateurs, souhaitaient créer des structures en adéquation avec la philosophie.
Nous transmettons, d’individu à individu, des histoires, des clés de compréhension humaine, des points de vue. Par contacts humains directs, écrits ou oraux, nous avons la possibilité de participer à un continuum.
Virginia a touché nos coeurs, celui des bébés, celui des enfants, celui des familles, celui des éducateurs.
Thanks a lot Virginia ! RIP
Pénurie d’éducateurs Montessori, formez-vous durant l’été !
Enfin, nous avons enrichi nos formations année après année, pour répondre aux besoins des structures éducatives, et aussi être au plus proche des transformations permanentes de la société.
En 2025, l’Education Nationale française a du mal à recruter des enseignants de tout niveau; les écoles privées hors contrat également.
C’est pourquoi, si ce métier, d’éducateur (plus qu’enseignant) vous tient à coeur, nous sommes disponibles et heureux de participer à une transformation humaniste et holistique des sociétés humaines à travers nos contenus.
Notre catalogue propose plusieurs formations, dont certaines durent deux années. Car enseigner s’apprend, et pas en une semaine, voire moins, comme on vous le prétend.
Nous ne cautionnons ni les stages d’infantilisation parentale, ni le tapage médiatique sur les émotions, ni les sous-postes d’assistants éducatifs.
Nous sommes pour une formation théorique et une formation pratique fortes, parce que nos enfants ont besoin d’adultes solides, exemples et sources d’inspiration.
Murielle, directrice de l’Académie TMF, est disponible, dès aujourd’hui, pour en parler avec vous. Car l’avenir de notre société dépend de la formation de nos enfants.
Achetez les 17 historiettes sur la découverte sensorielle des plantes, en famille !
C’est l’été et les fleurs sont là pour nous éblouir de leur couleurs !
C’est l’occasion de lire en famille, l’histoire des plantes sauvages que vous allez croiser avec les enfants !
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Nos articles publiés récemment…
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Nous venons de réviser la « connectique » du site afin de corriger cela…
Voici une liste des articles que, peut-être, vous avez manqué dernièrement :
- Voici pourquoi les éducateurs montessori n’ont aucune crainte de l’IA
- Un peu de coaching mental en cette période estivale très chaude
- Notre salut est dans les algues
- Toc Toc ou TikTok ?
- Un moyen très simple de se reconnecter avec le beau sur Terre
- Conférence sur le mal-être actuel des adolescents
- Des centaines d’écoles Montessori ont existé en France
- Une école Montessori dans le Vexin
- « Comment je fais pour la discipline ? »
- Record de 1200 articles sur notre website !
Voici pourquoi les éducateurs montessori n’ont aucune crainte de l’IA
Tout d’abord, il faut redire qu’avec la pédagogie Montessori, l’éducateur (et non pas l’enseignant) fait partie de l’univers de l’enfant (et non pas l’élève) au même titre que toutes les composantes de l’environnement et de l’ambiance (cf les deux grandes composantes montessoriennes de base selon Murielle Lefebvre).
Il faut également repréciser que nous ne proposons pas de notes, pas de devoirs, pas de punitions; etc.. Nous avons une grande foi dans le potentiel d’évolution humaine et tout comme vous j’imagine, l’enfant n’est pas motivé par ces leviers.
Dans une classe montessori, nous proposons un ensemble de matériels faits de matériaux (attention à la confusion à ne pas faire), en vrai 3D (je dis cela car on parle de plus en plus de 3D sur écran !!!) que les enfants manipulent avec leurs mains, selon des présentations et des progressions normées.
Alors l’IA (théories et techniques d’applications logicielles tentant à reproduire les activités humaines), ne peut faire partir de cet univers. Tout au plus, on installera un seul ordinateur dans la classe élémentaire pour faire des recherches avec chat GPT.
Peut-être qu’un atelier de robotique, type Lego, serait intégré dans les ateliers d’après-midi, mais jamais dans l’esprit de remplacer l’humain et d’éloigner celui-ci des composantes de base que restent d’accompagner l’enfant dans une vraie vie pratique où il maitrise son environnement. Avec la découverte de la botanique, la zoologie, les mathématiques sensorielles et la lecture avec des lettres à manipuler ou des cartes de géographie physique à fabriquer soi-même comme sur la photo ci-dessous.
Ils sont nombreux ceux qui n’ont pas compris, qu’on ne peut innover en matière d’apprentissage et que si jamais un enfant ne prenait plus ni crayon, ni pinceau en mains, ce serait une très grande partie de ses capacités intellectuelles et même physiques qui lui feraient défaut de façon cruciale, voire définitive.
Si un enfant n’apprend pas certains apprentissage durant les périodes sensibles, il ne peut jamais les apprendre par la suite. Nous connaissons tous le cas de l’enfant sauvage de l’Aveyron qui ne put jamais apprendre à parler, et nous rencontrons des enfants ou d’adultes incapables d’apprendre d’autres langues que leur langue maternelle pour nous prouver chaque jour que apprendre se fait dans certaines conditions, à certaines périodes de la vie.
Je vous mets au défi d’apprendre la conversion métrique anglaise ou américaine en mesures européennes pour me prouver le contraire !
Pour conclure, ne privons pas les enfants d’apprentissages essentiels en ajoutant aux déjà lourds et fatals écrans numériques omniprésents dans leur vie, une couche logicielle qui leur ôterait définitivement de gros potentiels à l’âge adulte.
Notre civilisation peut avancer, mais elle pourrait aussi reculer. Nous en avons des exemples dans l’histoire de l’humanité, soyons vigilants.
Un peu de coaching mental en cette période estivale très chaude
L’allégorie de la calèche
Dans quel état est votre carrosse ? Comment va votre cocher ? Quelle route votre voyageur a-t-il choisi ? Dans quel état émotionnel sont vos chevaux ?
La calèche avec ses roues et son habitacle représente le corps physique humain. C’est le plan physique.
Les chevaux (un noir et un blanc) représentent nos émotions, nos sentiments et nos perceptions humaines. C’est le plan émotionnel.
Ils sont puissants, et complémentaires. Parfois ils s’opposent et cela devient dangereux pour la calèche, le cocher et le voyageur.
Le cocher est le conducteur de l’attelage.
C’est le plan conscience ou l’intelligence. Le cocher a pour rôle de transmettre certaines informations au voyageur et en reçoit de ce dernier également, tout en menant les chevaux. Il apprend tout au long du parcours (vie), de façon empirique, grâce aux éléments extérieurs.
Le voyageur, représente l’âme, la sagesse acquise et l’intuition. C’est le plan spirituel. C’est le seul à décider d’un chemin ou d’une destination. Il communique avec le cocher par l’intermédiaire de l’intuition et de sa « petite voix ». Parfois, il s’endort durant le chemin. Et puis une secousse le réveil. Cela peut être les chevaux qui se cabrent, la roue qui heurte une pierre ou le cocher qui s’endort aussi et cela secoue le carrosse et réveille le voyageur.
Les deux personnages ont besoin l’un de l’autre, et il vaut mieux que ce soit fluide entre eux.
Le voyageur peut décider de prendre toujours la même route, avec les mêmes écueils. Le cocher peut parfois avoir envie de fouetter les chevaux pour aller plus vite puisqu’il connait le chemin. Sans ordre, le cocher suit toujours le même chemin : celui droit devant lui. Souvent, le cocher aime ses chevaux et les connait bien et sait quand ils ont besoin de répit. Il sait aussi qu’il faut s’arrêter pour réparer le carrosse endommagé par des ornières sur le chemin.
Les chevaux peuvent être fatigués, avoir froid, faim ou peur et ils réagissent et emmènent le carrosse subitement ou s’arrêtent.
Si le voyageur, le cocher et les chevaux se souviennent de mauvais parcours boueux par exemple, ils risqueront d’être hésitants. De même s’ils doivent empruntés les mêmes chemins caillouteux.
Parfois le carrosse est fait de bois dur, très résistant, parfois moins. Alors si les conditions de voyage sont très difficiles, il se rompt souvent.
Parfois le cocher a une volonté plus forte que celle du voyageur ou inversement.
Votre conscience vous dicte de ne pas prendre le chemin proposé par votre intuition ou au contraire celle-ci vous détourne de l’objectif qui avait été décidé.
Cet ensemble représente votre personnalité.
Votre mental lui – cad l’intelligence, les émotions et les expériences- est formé de l’ensemble des êtres vivants de cette allégorie.
Pour que le voyage se passe bien, il faut aligner ces personnes et animaux dans l’attelage.
Dans quel état est votre carrosse ? Comment va votre cocher ? Quelle route votre voyageur a-t-il choisi ? Dans quel état émotionnel sont vos chevaux ?
Notre salut est dans les algues
Vous souvenez-vous du post publié le mois dernier sur le Sommet de l’Amour des plantes, organisé online par Nathalie Frossard ?
Parmi les intervenants, dont j’ai eu l’honneur de faire partie, il y avait Vincent Doumeizel, qui proposa une intervention sur les algues qui m’intéressa particulièrement. Sujet dont je souhaite me rapprocher au sens propre comme figuré. Vivant au bord de l’océan atlantique depuis de nombreuses années, il serait temps !
Eh bien, ce sera fait cet été, puisque la synchronicité a agit cette après-midi lors d’une rencontre chez Biocoop !
Alors que, la veille, je trouvais sur le net les références d’un spécialiste local des algues maritimes, il exposait ses livres chez le commerçant où je me rendais le lendemain !
Je m’en suis étonnée de façon ravie. Nous avons discuté et je vais avoir la chance de le suivre lors d’un tournage estival de séance de découverte de terrain, par une télévision locale ! Excellent !
Source : https://phyto-sante-espace.blog4ever.com/algues
Les trois grands groupes d’algues (brunes, rouges et vertes) sont dans les océans depuis leur création mais n’auraient pas apparu au même moment. Les vertes (Chlorophycées) ont donné naissance aux plantes terrestres.
Les algues sont microscopiques et macroscopiques, elles participent à l’écosystème et surtout à la production des 2/3 de dioxygène sur Terre et elles pourraient nourrir tous ses habitants ! Que demander de mieux ? Les connaître. C’est ce que je vous invite à faire, au plus tôt avec, et pour les enfants ! Comme d’habitude, on partira de l’algue vivante. Et si possible par l’exploration sur le terrain. Pour ceux qui vivent loin d’une côte maritime, il faudra en demander à votre poissonnier (pas sûr qu’il en ait ?).
Les enfants les observeront, les dessineront puis on nommera les parties de l’algue.
La Grande Leçon sur l’évolution des êtres vivants sur la Terre (que vous pouvez suivre ICI) est une histoire inspirante pour les enfants et les algues y ont leur place.
Ensuite viendra la classification des algues pour lesquelles des supports sous forme de posters et de cartes sont idéaux.
A bientôt pour la suite sur ce sujet, fin juillet, après le tournage !
Toc Toc ou TikTok ?
Dans le milieu français montessorien, il y avait eu la « vague Céline Alvarez », une jeune enseignante de L’E.N., qui avait fait venir les caméras de TV dans sa classe Maternelle dans le 93 et prétendait que grâce à la méthode montessori tous les enfants lisaient à 4 ans. Notre association avait dit que c’était de la folie, que cela grincerait de tous les côtés (normal le pouvoir et l’argent sont les nerfs de la guerre, pour beaucoup hélas).
Depuis, l’enseignante travaille en Belgique maintenant, m’a-t-on dit.
Entre temps, on trouvait sur la toile :
- des informations de procès entre, par exemple, des boutiques proposant des jouets montessori (!) comme Oxybul ou Nature et découvertes qui faisaient le CA d’avocats parisiens se disputant de la création de ces jouets,
- des redressements judiciaires d’associations montessoriennes (au CA de plusieurs millions d’euros !),
- des réseaux de crèches dont les employés sous-qualifiés et sous-payés avaient du mal à prendre soin des enfants.
Et voilà que maintenant c’est TikTok qui s’en mêle !
« Que penses-tu de cela Murielle ? » me demandent certains directeurs et éducateurs.
Je n’ai rien à dire sur le sujet qui n’en n’est pas un, car tous ces jeunes influenceurs qui véhiculent, au fil du temps, ces informations ne sont pas compétents pour en parler ou représenter l’ensemble du sujet. Ils utilisent des leviers rhétoriques négatifs pour faire du buzz et se mettre en avant, voilà tout. Pour proposer quoi in fine ?
Eh bien rien, bien sûr. Car c’est plus difficile d’éduquer des enfants au quotidien que de poster des vidéos.
Si vous acceptez d’être influencés si facilement, pas nous.
Les pédagogues et éducateurs continueront sans eux, comme c’était le cas avant et le sera après.
La philosophie montessori n’est pas pour tout le monde (éducateurs, parents, enfants), nous l’expliquons depuis 30 ans. Elle n’est ni élitiste, ni catholique, ni communiste, ni rien, c’est une philosophie de vie dotée d’une programme pédagogie progressif, multisensoriel. Si elle ne vous correspond pas, passez votre chemin. Le monde est pluriel et pas singulier.
Depuis quelques années, je fais de la recherche historique (gratuite, en bénévolat) sur les événements de la vie de Maria Montessori. Non pas par idolâtrie de la personne elle-même -qui s’en aucun doute, avec son fort caractère, m’aurait remise en place moi aussi !-. Mais parce que les actions qu’elle a menées durant toute sa vie ouvrent une compréhension d’une époque où tout a basculé : la psychologie émergente, la pédagogie nouvelle, l’hygiène, le travail des femmes, la considération de la femme, la recherche de la paix mondiale.
Oui, c’est cela qui est intéressant à voir et comprendre dans le background de cette pédagogie. Et ce n’est pas facilement accessible car cela demande beaucoup de recul, de temps pour réfléchir, d’humilité, de profondeur. Tout le contraire de ce qui vous est proposé dans les Tok Tok (ou Tik Tok, c’est pareil) et compagnie…
Plus sérieusement, je vous propose de prendre connaissance de ce que Maria Montessori et d’autres considéraient dès 1931 pour bâtir une paix mondiale durable (cliquez ICI), sujet d’actualité important que nous abordons dans une classe montessori, grâce, entre autres, à ses écrits.
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